31 mai 2018

Malgré cette expression d’engagement de haut niveau, les décideurs politiques doivent encore faire davantage pour intégrer la recherche sur le dividende démographique dans les processus d’élaboration des politiques de leur pays. S’appuyant sur les expériences d’experts auprès de décideurs politiques en Ouganda, au Malawi et au Kenya, cet article décrit comment les experts ont communiqué efficacement la recherche sur le dividende démographique aux responsables gouvernementaux, qui à leur tour ont intégré ces résultats dans les politiques.

9 décembre 2017

Le Réseau des comités parlementaires africaines de la santé (NEAPACOH), anciennement connu sous le nom d’Alliance parlementaire des comités de la santé de l’Afrique australe et orientale (SEAPACOH)) est l’un des réseaux actifs qui engagent les parlementaires (députés) en Afrique pour renforcer la prestation de services de santé. leurs fonctions de contrôle, de législation et de représentation, pour relever les défis sanitaires dans la région.

17 juillet 2014

Les profils démographiques et économiques de la Tanzanie la positionnent favorablement pour bénéficier du dividende démographique si le pays libère tout son potentiel de développement en donnant simultanément la priorité : aux réformes et aux investissements qui accélèrent la baisse de la fécondité ; industrialisation et création d’emplois; des investissements dans l’éducation et la santé pour développer un capital humain de qualité ; et une meilleure gouvernance et responsabilisation dans l’utilisation des ressources financières et naturelles du pays.

24 mars 2013

La planification familiale (PF) présente d’immenses avantages en matière de santé, d’environnement et de croissance économique. Par exemple, on estime qu’en 2008, la planification familiale a permis d’éviter 32 % des décès maternels en Afrique subsaharienne (ASS), et que ces décès diminueraient encore de 29 % si toutes les femmes qui souhaitent éviter une grossesse utilisaient un contraceptif efficace. méthode (Ahmed et al. 2012). La planification familiale contribue également à sauver la vie des enfants ; espacer les naissances d’au moins deux ans réduirait les décès de nourrissons de 10 % et les décès d’enfants âgés de 1 à 5 ans d’environ 20 % (Cleland et al. 2012).